Rate sa cible / devient une référence
One day all this will be yours (« Un jour tout ceci sera tien ») est une novella de SF (126 pages au compteur) sortie en mars 2021, signée Adrian Tchaikovsky. Ceux parmi vous qui suivent le Culte de longue date savent que pendant un bon moment, j’ai tenté de suivre le rythme effréné de publication de l’auteur, jusqu’à ce que différents facteurs me conduisent à arrêter, le principal étant que si le britannique est capable d’écrire de très grands romans, courts ou longs, le nombre de bouquins passables, voire assez mauvais, devient lui aussi de plus en plus conséquent (ou récurrent). Et vu que ni mon budget (surtout) ni mon temps de lecture ne sont infinis… Sur ce court roman précis, j’ai d’autant moins été enclin à tenter cette lecture que le camarade Feydrautha avait émis un avis plus que tiède sur la chose. J’ai toutefois gardé dans un coin de ma tête que malgré tout, il évoquait aussi des concepts fascinants et un livre qui aurait pu devenir une référence en matière de guerre temporelle, un sujet qui, vous le savez peut-être, me fascine totalement.
Il y a quelques jours, je me suis aperçu, par hasard, que le prix de One day… avait drastiquement diminué en version électronique (au moment où je tape ces lignes, il est à 1.19 euros), et je me suis dit « Pourquoi pas, après tout, c’est court, et à ce prix là, pas de regrets à avoir ». J’ai donc commencé ce livre, sans grande conviction, à onze heures passé du soir, me disant que j’allais en lire quelques dizaines de pages avant de m’endormir… ce que j’ai fini par faire, après l’avoir lu d’une traite (ce qui ne m’arrive jamais, même pas avec les UHL), à deux heures du matin 😀 Donc, vous dites-vous peut-être, les critiques du camarade Harkonnen étaient infondées, hein ? Eh bien en fait, c’est plus compliqué que ça, comme nous allons le voir ! Continuer à lire « One day all this will be yours – Adrian Tchaikovsky »


Le 6 octobre 2021, sortira chez J’ai Lu, dans la collection Nouveaux Millénaires, Récursion (avec un « é ») de Blake Crouch, traduction de… Recursion (avec un « e »), publié en anglais il y a un peu plus de deux ans. Mais si, vous savez, Blake Crouch, l’auteur de
Lorsque j’ai vu, il y a quelques mois, que Peter Hamilton allait sortir une novella co-écrite avec Gareth L. Powell (l’auteur de
Je vous ai récemment parlé de Deux Faucons de l’autre Terre, roman de Philip José Farmer mettant en scène un héros haut en couleur, Two Hawks. Il se trouve qu’après avoir écrit, pour une des nombreuses anthologies rendant hommage à l’écrivain disparu en 2009, une nouvelle mettant en scène ledit personnage, l’autrice Heidi Ruby Miller a reçu l’autorisation des héritiers de Farmer d’écrire une suite en bonne et due forme, à la dimension d’une novella, des rocambolesques aventures de l’américain d’origine iroquoise. Cette suite, Man of war (A Two Hawks adventure), a été publiée en 2017. La nouvelle Dakota’s Gate de Miller s’y intègre, servant de prologue.
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Comme nombre d’ouvrages van Vogtiens présentés comme des romans, Quête sans fin est en réalité un fix-up assemblé à partir de trois textes courts publiés longtemps auparavant dans le magazine Astounding Science Fiction : la nouvelle Destination Centaure en 1944, ainsi que les nouvelles longues La quête en 1943 et La cinémathèque en 1946. Et le moins que l’on puisse dire et que plus encore que dans
J.S. Dewes est une autrice américaine, dont The last watch est à la fois le premier roman (mais la dame a un background dans l’écriture pour l’audiovisuel, apparemment) et le tome inaugural d’un cycle appelé The Divide. Le tome 2 arrive d’ailleurs très, très vite, puisque alors que The last watch n’est sorti que le 20 avril 2021, sa suite, The exiled fleet, débarquera dès le 17 août !
Cette critique a été réalisée dans le cadre d’un service de presse consenti par AMI. Un grand merci à Gilles Dumay !