C’est la fête ! *
* 1 am Funk Dance Party, Starblaster, 2021.
Depuis que la première édition de mon Guide des genres et sous-genres de l’Imaginaire est sortie en 2018, sous forme électronique seulement, une question nous a été posée, à Gilles Dumay et à moi, de façon récurrente : une version papier est-elle prévue ? Avant l’arrivée de la deuxième édition, en 2022, la réponse était « Non » ; après sa parution, elle est devenue « La possibilité existe dans le contrat qui lie votre serviteur et AMI, mais pour l’instant, la chose ne peut être envisagée que si les ventes de la version électronique sont élevées ». Eh bien chez Albin Michel, on avait sous-estimé la foi des adeptes de l’Apophisme, puisque, dans une spectaculaire démonstration de force, vous avez fait, un seul jour après sa parution, de la deuxième édition du Guide la seconde meilleure vente d’AMI en format électronique en septembre, à un cheveu derrière Les Chants de Nüying d’Émilie Querbalec. Pour les deux du fond qui roupillent ou les nuls en maths comme moi, cela signifie qu’en un seul jour, ce livre a fait aussi bien (du moins en version électronique) qu’une des locomotives actuelles de la collection… en un mois entier. Je vous dis donc, à toutes et à tous, un immense merci pour votre soutien qui, en cette période difficile pour moi qui dure depuis un an maintenant, signifie beaucoup (et j’en profite pour également remercier toutes les personnes qui ont très gentiment pris de mes nouvelles depuis la mise en pause du blog).
Vous l’aurez compris, la tant attendue édition papier du Guide arrive donc enfin, le 15 février (d’après la pol… d’après l’éditeur, puisque les organi… les sites marchands annoncent, eux, le 14 : on attend encore le comptage statistique du cabinet Occurrence), au prix de 14.90 euros (je rappelle à ceux qui ont un budget limité qu’il reste disponible en version électronique pour seulement 1.99 euros). Avec un bémol, toutefois : c’est un petit tirage (ne me demandez pas le chiffre, je ne le connais pas moi-même), employant un nouvel outil de fabrication récemment mis en place chez Albin Michel, ce qui signifie donc que si vous pourrez le (pré)commander normalement chez les vendeurs sur le net (vous trouverez leur liste sur la fiche de l’ouvrage sur le site d’AMI, à gauche, bouton « acheter ce livre », onglet par défaut « Grand Format »), votre librairie physique n’en aura pas en stock, puisque ce petit tirage n’est pas diffusé par le surpuissant réseau de l’éditeur. Il vous faudra donc le commander exprès ; si vous voulez faciliter la vie de votre libraire, vous pouvez lui préciser qu’il est distribué par Hachette, et que pour se le procurer, il doit utiliser les codes suivants :
Guide des genres et sous-genres de l’imaginaire (édition 2022)
9782226483836 / 5631428
Quelques précisions : limité en taille ne signifie pas (à ma connaissance, du moins) « limité à x exemplaires et y’en aura pu jamais après ! », et donc je n’ai aucune raison de croire qu’en démontrant une deuxième fois, via des ventes aussi foudroyantes que massives, à Albin Michel que ce livre a autant sa place sur les tables des libraires que les œuvres d’Estelle Faye et de Jean-Laurent Del Socorro, vous n’allez pas déclencher une réimpression usant d’un procédé de fabrication (et avec un nombre d’exemplaires) plus traditionnel. Autre précision importante : le livre n’est pas encore, au moment où je tape ces lignes, référencé partout où il est supposé l’être (sur le site de la FNAC, par exemple), mais ça arrivera dans les jours qui viennent, peut-être même après le 14/15, toujours en raison de la nouveauté du procédé employé par AMI.
Je suis heureux que mon livre bénéficie d’une édition papier, je remercie d’ailleurs mon éditeur et Gilles Dumay pour cela et surtout, je vous remercie, vous, fidèles adeptes de l’Apophisme, pour avoir rendu cela possible via votre soutien indéfectible à mon travail. J’espère que vous apprécierez autant la version physique que l’électronique (pour ceux qui possèderont les deux), et j’ai hâte d’avoir les retours de celles et ceux qui, ne lisant pas les livres électroniques, n’ont, de fait, jamais lu l’ouvrage.
(Vous déconnez pas, vous mettez pas les ventes du truc minables face à celles de Faye et Del Socorro, hein ?)
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