The calculating stars – Mary Robinette Kowal

Conquête spatiale, conquête des droits

calculating_starsThe calculating stars fait partie du cycle Lady astronaut, dont il est le second texte publié mais le premier dans la chronologie interne de cet univers. Il explique donc (ainsi que le roman suivant, à paraître dans quelques semaines, The fated sky) la façon dont on en est arrivé au monde de The lady astronaut of Mars. Mélange d’Atompunk (Steampunk des années 45-65 ; l’auteure, elle, parle, dans la postface, de « punchcard punk », étant donné que l’informatique plus primitive de son univers fonctionne aux cartes perforées), donc d’uchronie rétrofuturiste, et de Hard SF / SF post-apocalyptique, le roman propose aussi au lecteur une intrigue qui mêle différentes strates de lecture : évolution sociale (possibilités professionnelles offertes aux femmes ou aux personnes de couleur), course à l’espace uchronique avec une exploitation réaliste de la science et de la technique, mais aussi (et peut-être surtout) une immersion pleine de sensibilité et d’émotion dans la vie d’un couple, confronté, de la première à la dernière ligne, à des défis extraordinaires.

Une fois de plus, Mary Robinette Kowal livre un très bon texte, même si pas tout à fait dépourvu de certains défauts, au minimum pour des profils bien précis de lecteurs. Je vais donc essayer de vous décrire le plus précisément possible ce qui peut vous plaire… ou pas là-dedans. 

Contexte, genres

Le 3 mars 1952, une météorite s’écrase au large de Washington D.C., détruisant tout dans un rayon de 110 kilomètres… y compris la quasi-totalité du gouvernement et du Congrès. Outre la destruction initiale, des effets à long terme se font sentir : pluies acides, hiver « nucléaire » de plusieurs années, qui sera suivi, selon les prévisions, par un effet de serre provoqué par la grande quantité de vapeur d’eau générée par l’impact. À terme, la Terre sera trop chaude pour être habitable par les humains. L’ancien ministre de l’agriculture, devenu Président (acting President, pour être précis) comprend dès lors que ces derniers ne peuvent désormais plus garder leurs œufs dans le même panier, et décide donc de donner un vigoureux coup de booster au programme spatial.

Bon, le côté uchronique est clair, et vous pensez que le point de divergence (le moment précis où l’Histoire d’un univers uchronique diverge avec la nôtre) l’est aussi. Eh bien vous vous trompez ! Que cela soit du fait de votre connaissance pointue des événements de cette époque ou au fait que lisiez la postface avec attention, certaines différences devraient vous sauter aux yeux même avant l’impact du météore, comme le fait que Truman ait été battu par Dewey à l’élection présidentielle ou (surtout) que le premier satellite artificiel ait été américain et pas le Spoutnik soviétique. Au passage, certaines différences non-liées au programme spatial apparaissent aussi après l’impact, comme la disparition de l’URSS avec une quarantaine d’années d’avance, la fin de la guerre de Corée en 1952 ou celle officielle de la ségrégation en 1953 (contre 1965 dans notre propre Histoire ; et ce même si, dans les faits, ceux qui veulent la pratiquer trouvent des biais, comme c’est clairement montré dans le livre) par exemple.

Si on additionne l’uchronie avec un côté Hard SF et une conquête spatiale plus vigoureuse, certains d’entre vous vont se dire que The calculating stars doit ressembler à Voyage de Stephen Baxter. Eh bien en fait, ce n’est pas vraiment le cas. Car le roman de Mary Robinette Kowal ajoute une composante rétrofuturiste qui n’est pas présente chez Baxter, où en fait on décide de pousser plus loin l’exploitation d’une technologie (le propulseur nucléaire) qui a été abandonnée dans notre Histoire. En effet, dans son uchronie, l’américaine fait se poser l’homme sur la lune le 20 juillet… 1958, et pas 1969 comme dans notre propre chronologie. De plus, la technologie utilisée est différente, les ordinateurs étant moins fiables que dans notre univers, fonctionnant avec des cartes perforées, et devant être assistés, voire remplacés, par des calculatrices humaines (l’auteure cite le livre et le film Les figures de l’ombre à plusieurs reprises dans la postface). Nous avons donc une uchronie + du rétrofuturisme (une technologie développée bien avant l’époque où elle est apparue dans l’Histoire réelle) + un point de divergence dans les années cinquante, ce qui sort donc le livre du registre de l’uchronie standard pour le faire entrer dans celui de l’Atompunk, variante du Steampunk. Kowal, elle, parle de « punchcard punk », mais techniquement, c’est bien d’Atompunk dont il s’agit (notamment dans les craintes initiales de certains des personnages que le météore soit une frappe nucléaire soviétique, ou bien une vraie météorite mais dirigée d’une façon ou d’une autre pour tomber -comme c’est pratique- presque pile sur la capitale US).

Je reviens sur la comparaison avec Voyage : bien que les deux diptyques aient quelques points communs (une conquête alternative de Mars, un côté Hard SF), ils sont en fait plutôt différents. Le côté technique est beaucoup plus poussé chez Baxter, tandis que Kowal en profite pour faire avancer bien des combats sociaux (je vais en reparler) en plus de la technologie. De plus, le style des deux auteurs est largement différent, et Kowal crée une bien plus grande empathie pour son héroïne que Baxter. Aimer ou détester l’un n’est donc clairement pas la garantie automatique d’avoir le même ressenti envers l’autre roman : si vous avez aimé l’uchronie scientifique chez Baxter et cherchez le même côté Hard SF très prononcé, je ne suis pas certain que vous appréciez certains passages du roman de Kowal, qui se concentrent sur les droits de la femme ou des noirs, ou bien s’étendent largement sur les tourments psychologiques ou conjugaux de son héroïne. À l’inverse, je ne suis pas non plus certain que quelqu’un qui aurait d’abord lu The calculating stars et qui tente Voyage ensuite y retrouve tout à fait ce qui lui a plu, c’est-à-dire un aspect Hard SF mais « léger » (tout est relatif : le bouquin de Kowal est solide et crédible, il suffit de lire les remerciements pour en prendre la pleine mesure), une emphase sur la psychologie de l’héroïne et sa vie conjugale, ainsi (et sans doute surtout) que sur des combats sociaux connexes à cette conquête spatiale uchronique.

Un petit mot sur l’aspect apocalyptique / post-apocalyptique : si le premier est magistralement traité (on vit littéralement la catastrophe par les yeux de l’héroïne, Elma, ainsi que par ceux de son mari, Nathaniel), le second est en revanche un peu décevant, car l’auteure ne s’attarde pas vraiment dessus (à part pour faire clairement comprendre au lecteur que les zones sinistrées où habitent des noirs sont laissées à l’abandon). Si on ne peut pas vraiment parler de simple prétexte pour servir d’impulsion à un programme lunaire (et martien) bien plus nerveux que dans notre propre version des événements, je pense qu’il y avait largement assez de place dans le roman, en éliminant quelques scènes où Elma est avec ses amies ou son mari, pour développer un peu plus la gestion de l’après-catastrophe. Mais bon, clairement rien de rédhibitoire.

Intrigue et personnages

La catastrophe fait de Nathaniel York l’ingénieur le plus gradé du programme spatial (qui déménage, comme la capitale d’ailleurs, de la côte Est à Kansas City). Au passage, j’ai d’ailleurs trouvé que la manière dont von Braun était un peu évacué du projet lunaire un poil bizarre, même s’il est sous-entendu qu’il aura un rôle plus important dans la mission vers Mars (j’en profite d’ailleurs pour préciser que le livre, unique à l’origine, a été coupé en deux -d’après la postface-, la seconde partie, The fated sky étant consacrée à Mars tandis que ce tome 1 se concentre sur la Lune). Après la (très longue) séquence d’ouverture en 1952 (20 % du bouquin), le gros de l’action se déroule entre 1956 et 1958, et se termine lors du décollage de la mission qui va permettre à un homme de marcher pour la première fois sur notre satellite, en juillet 1958.

Elma, la femme de Nathaniel, ancienne pilote au sein des WASP pendant la Seconde Guerre mondiale, est aussi un génie très précoce en matière de mathématiques et de « calcul » (de résolution d’équations complexes, plutôt) mental. Elle est employée au sein de l’IAC (International Aerospace Coalition), qui a absorbé la NACA (l’ancêtre de la NASA) et les autres agences spatiales du monde, en tant que calculatrice humaine. Suite à diverses circonstances que vous découvrirez en lisant le roman, elle va être la figure de proue d’un mouvement visant à laisser une place à la femme dans la conquête de la Lune, ainsi que dans le combat pour le droit des noir(e)s. Elle va cependant entrer en conflit avec une ancienne connaissance datant de la guerre, Stetson Parker, qui, pour son plus grand malheur, est aussi le premier homme à être allé dans l’espace et a donc une grande influence au sein de l’IAC. Elle va gagner la célébrité, ainsi que le surnom éternel de « Lady Astronaut ».

Ce qui est très intéressant avec cette version uchronique et rétrofuturiste de la mission lunaire, c’est le mélange étonnant entre ce qui ne change pas (il y a bien des astronautes nommés Aldrin, Collins, Yeager ou Armstrong dans le programme, même s’ils ne sont pas ici mis en vedette), ce qui change mais qui n’a pas d’importance réelle (on appelle « Kansas » -City- et pas « Houston », le programme s’appelle Artemis et pas Apollo, on parle de fusées Jupiter V et pas Saturn V, etc) et ce qui change mais alors carrément : outre la présence d’astronautes féminins dès les années 50, la conquête de la Lune onze ans avant (et par une équipe internationale, mixte et pas exclusivement américaine qui plus est), l’importance moindre des ordinateurs, on peut remarquer que l’ordre dans lequel les différentes étapes de la conquête spatiale sont effectuées est sensiblement différent. Ainsi, on construit d’abord une station orbitale en 1956 puis on envoie l’homme sur la Lune, alors que dans notre Histoire, la première d’entre elles, Skylab, n’a été mise en orbite qu’en… 1973, donc après la fin de la dernière des missions lunaires l’année précédente.

Les personnages sont très soignés, que ce soit les principaux ou même les seconds rôles, voire les quasi-figurants : c’est le genre de souci du détail, de les rendre vivants, crédibles, qu’on ne retrouve que chez les plus grands, comme Guy Gavriel Kay. Ce qui n’empêche pourtant pas, à mon goût, la petite… peut-être pas sortie de route, mais disons embardée sur le bas-côté qu’est Stetson Parker : très stéréotypé, pas toujours crédible (sans compter que le livre fini, nous n’en savons toujours pas plus sur son épouse), il représente un gros archétype machiste et conservateur opposé au côté progressiste et ouvert aux désirs de sa femme représenté par Nathaniel. Mouais.

Ce qui est intéressant avec Elma, ce n’est pas, comme on aurait pu s’y attendre (surtout après avoir lu The lady astronaut of Mars), sa force, son côté brillant, mais au contraire ses fragilités : avec un père Général et une mère qui la poussait à avoir toujours un maintien et un comportement parfait en toutes circonstances, c’est quelqu’un qui a une peur panique de l’échec, d’attirer la honte sur son mari, de parler en public et d’être au centre de l’attention, jusqu’à s’en rendre littéralement malade. J’en profite d’ailleurs pour dire qu’à mon sens, Mary Robinette Kowal a très bien rendu la psychologie (sudiste, en particulier) de l’épouse américaine des années cinquante, notamment dans le côté hautement paternaliste de sa relation avec son mari (et d’ailleurs, observez bien les dialogues, vous verrez que tous les hommes américains du bouquin traitent les femmes comme des gamines, des poupées fragiles ou des hystériques). Ainsi, lorsque Elma oublie de payer les factures, c’est une véritable catastrophe pour elle, car elle a le sentiment d’avoir manqué à ses devoirs et d’être une mauvaise épouse. Pire encore lorsqu’elle croit que Nathaniel s’est fait réprimander dans la cadre de son travail à cause d’elle. On assiste cependant à une évolution psychologique du personnage (ce qui, à mon sens, est la marque d’un protagoniste réussi : il n’est pas figé, il change) assez fascinante.

Thématiques

Je l’ai déjà sous-entendu, mais il y a trois strates de lecture dans ce livre : la première est le côté Hard SF / colonisation spatiale, la seconde est la vie conjugale / familiale / professionnelle d’une femme des années cinquante (certes uchroniques), et la troisième est celle des combats sociaux. Cette dernière couche s’articule autour de plusieurs axes : d’abord la place des femmes (sous-entendu blanches) dans l’univers professionnel en général et dans le corps des astronautes en particulier (on verra que même lorsque le combat d’Elma portera ses fruits, elle et ses consœurs ne seront initialement  là que pour servir de vitrine publicitaire ou quasiment -cf l’épisode d’entraînement dans la piscine… en bikini-), ensuite celle des non-blancs en général et celle des femmes noires en particulier dans le même milieu, et plus généralement le traitement des noirs dans ces USA uchroniques.

Elma (et Martin Luther King en filigrane) sera au centre de la lutte pour l’intégration des femmes dans le corps des astronautes (refusées au début parce qu’on pense qu’avec les forces G, elles vont sombrer dans l' »hystérie » !), ainsi que dans la fin des discriminations envers les noirs (la ségrégation n’est plus, mais les différences de traitement perdurent, cachées sous des prétextes réalistes) ou l’intégration de non-blancs / non-anglo-saxons dans l’IAC (dans la première vague d’astronautes masculins sélectionnés, il n’y a que des blancs, dont 75 % d’américains et d’anglais). Ce qui est intéressant est qu’elle n’est pas un parangon de vertu : elle fait des boulettes, met du temps à se rendre compte des choses, et ne le fait que grâce à ses amies de couleur, comme Myrtle par exemple.

Une autre thématique intéressante est la réaction du public à la catastrophe : lorsqu’on annonce qu’après un hiver nucléaire de quelques années, un effet de serre s’étant emballé va prendre sa place, les gens sont sceptiques. Voyant les températures baisser rapidement et massivement, ils ont du mal à concevoir une canicule si intense et prolongée qu’elle va remettre en cause l’existence de la race humaine sur cette planète. Idem lorsque les températures remontent, mais moins et moins vite que prévu. Une partie de l’opinion publique milite donc pour que les crédits colossaux attribués au programme spatial, vu comme élitiste, voire chimérique, soient réattribués à l’effort de reconstruction… sur Terre (où il y a d’ailleurs du boulot, puisqu’on assiste à des émeutes de la faim). Et ce genre de plainte tombe dans l’oreille de certains politiciens plus que désireux de s’en faire les avocats ! Signalons également que dans certains cas, la réaction est encore plus extrême, et débouche carrément sur du terrorisme.

On notera que la religion d’Elma (juive) est abordée à plusieurs reprises, notamment lors de sa rencontre avec un certain… Wernher von Braun, ainsi que dans la vie des membres de cette communauté en Amérique dans les années cinquante ou leur façon de faire face à ce nouveau drame (à propos d’un homme juif croisé par Elma : « il devait s’être échappé d’Allemagne juste pour voir cette catastrophe arriver alors qu’il se croyait en sécurité »). Une thématique est également la façon de gérer la perte d’être chers quand, souvent, on a perdu tout un pan de son arbre généalogique d’un seul coup lors de l’impact du météore.

Enfin, on notera le cynisme des américains dans les raisons pour lesquelles ils finissent par autoriser des astronautes femmes, dans la façon dont ils les choisissent (Betty), dont ils les exposent à la presse (l’épisode du bikini, encore) ou exploitent leur image, tout ça en ne les respectant pratiquement à aucun moment pour ce qui compte réellement, à savoir leurs compétences.

Bien mais…

Alors clairement, nous avons affaire ici à un livre très prenant, globalement (très) réussi, au style formidable, à la protagoniste très attachante, etc, etc, etc, mais qui, pour moi, est affligé de quelques défauts assez agaçants : d’abord, je trouve qu’il y a un assez mauvais équilibre entre les volets Hard SF / combat social / Elma, et que ce dernier est trop développé, parfois au détriment des autres (notamment dans la dimension post-apocalyptique, voire Hard SF : c’est certes réaliste et documenté, mais à côté de ce qu’à proposé Baxter, ça fait clairement pâle figure, sauf au début lorsque Elma analyse l’impact du météore, et tente de prédire ce qui va se passer afin d’avoir une chance d’y échapper) mais quoi qu’il en soit également en valeur absolue (le roman s’attarde trop sur des scènes sans grande importance, il aurait clairement été encore meilleur s’il avait été mieux dégraissé) ; ensuite, si la plupart des thèmes sociaux sont traités avec subtilité et intelligence, ce qui est incarné par Stetson est balancé de façon beaucoup moins habile ; enfin, et c’est pour moi la grosse faute de goût, la fin est extrêmement frustrante, car elle coupe LA scène que n’importe quel lecteur normalement constitué va légitimement s’attendre à lire. Et vu que le tome 2 commence en 1961… J’ajouterais que 77% du bouquin pour qu’Elma devienne astronaute, c’est beaucoup trop, en tout cas selon moi.

En conclusion 

Second texte dans l’ordre de publication mais premier dans la chronologie interne de l’univers du cycle Lady Astronaut, The calculating stars montre une conquête de la Lune uchronique se déroulant dans les années cinquante suite à l’impact d’un météore sur Terre. Mêlant un côté Hard SF (et post-apocalyptique) à des thèmes sociaux très développés (travail des femmes, discrimination des noirs, etc), et proposant une héroïne très attachante, crédible et développée, ce roman relevant de l’Atompunk (Steampunk des années 45-65), ou, comme le dit l’auteure, du « punchcard punk » (étant donné sa technologie informatique primitive à base de cartes perforées) s’avère intéressant et très prenant, même si pas totalement dépourvu de défauts, dont un équilibre perfectible entre les différentes strates (personnelle / sociétale / technologique), un « antagoniste » assez caricatural et surtout une fin à mon goût bâclée (même si le « tome 2 » -en fait la seconde partie d’un roman unique coupé en deux- arrive dans quelques semaines, mais propose un saut en avant de trois ans). Au final, cependant, c’est une lecture hautement recommandable, surtout si vous cherchez un roman qui mêle conquête spatiale et conquête de droits professionnels / civiques.

Niveau d’anglais : pas de difficulté particulière.

Probabilité de traduction : traduit par Denoël sous le titre Vers les étoiles.

Pour aller plus loin

Ce roman fait partie d’un cycle : retrouvez sur Le culte d’Apophis les critiques du tome 2, du tome 3,

Si vous souhaitez avoir un deuxième avis sur ce roman, je vous conseille la lecture des critiques suivantes : celle de FeydRautha sur L’épaule d’Orion, celle de Lianne, de Yogo, de Lutin, de Xapur, de Célindanaé, d’Aelinel, de Médiotopia, du Chroniqueur, d’Ombre bones, de Blog à part, de Gromovar, de l’Ours Inculte, du Bibliocosme,

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