Adieu 2015, bienvenue 2016 ! Il est donc temps de dresser le bilan de mes lectures SF / Fantasy / Fantastique de l’année. Cliquez sur le titre du roman pour accéder à sa critique complète. Avec la démesure qui me caractérise, j’ai de plus décidé d’attribuer des « Prix Apophis » dans chacune des trois catégories, si Elbakin le fait, pourquoi pas moi, hein…
Le Top du Top
Il concerne les romans dont la lecture m’a apporté le plus de plaisir et qui se sont également le plus rapprochés de l’idée que je m’en faisais ou de leur réputation de qualité :
- L’abîme au-delà des rêves – Peter F. Hamilton (Prix Apophis SF 2015, ex aequo)
- Grand Central Arena – Ryk E. Spoor (Prix Apophis SF 2015, ex aequo)
- L’épée brisée – Poul Anderson (Prix Apophis Fantasy 2015)
Top
C’est-à-dire les romans s’étant démarqués de la moyenne de mes lectures mais sans pour autant atteindre le top du top :
- Faërie – Raymond E. Feist (Prix Apophis Fantastique 2015)
- La Maison d’acier – David Weber
- La septième épée – Intégrale – Dave Duncan
- Lankhmar – Fritz Leiber
- Les enchantements d’Ambremer – Pierre Pevel
- La guerre de Caliban – James S.A Corey
Flop (=Déception)
Ces romans ont été une relative déception, soit par rapport à mes attentes, soit (parce que je n’avais aucune attente particulière à leur sujet) en eux-mêmes. Attention, relative déception n’équivaut en aucun cas à mauvais roman ou à mauvaise critique de ma part !
- Ariosto Furioso – Chelsea Quinn Yarbro
- Vif-Argent – Intégrale – Stan Nicholls
- Espoir-du-cerf – Orson scott Card
- Accelerando – Charles Stross
Flop retentissant (=Cruelle déception)
Ce sont les romans qui se sont au final révélés être très éloignés de mes attentes, de leurs prédécesseurs (pour des suites) ou de la réputation qu’on leur prêtait :
Je précise que j’ai lu d’autres romans de littérature de genre en 2015, mais qu’ils ne m’ont pas assez marqué, en bien ou en mal, pour figurer dans ce classement.
Le culte d'Apophis 
Rhôôôôôôô… Accelerando dans les flops ! Mécréant ! C’est un des meilleurs livres de SF que j’ai lus.
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C’est ce que je précise, relative déception n’équivaut pas forcément à mauvais roman ou mauvaise critique de ma part. Vous êtes bien placé pour savoir que j’en ai dis beaucoup de bien dans ma critique, MAIS même si je trouve que ce livre est un incontournable sur son thème particulier (la Singularité), je l’ai trouvé en-dessous de mes attentes sur certains points. Je vais citer la fin, la quatrième de couverture qui dévoile un point capital de l’histoire, et les travers d’écriture de Stross en matière de technobabillage. Je le classe en « flops » parce que je l’ai trouvé « juste » très bon alors que j’en attendais l’excellence (d’où 4 étoiles et pas 5 sur Amazon, alors qu’avant de le lire pour moi c’était un candidat naturel aux 5 étoiles à priori).
Mais bon, vous avez parfaitement raison de me faire cette remarque (et je vous en remercie), ça m’a permis de clarifier ma position et / ou toute ambiguïté sur le terme de « flop ».
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